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jeudi 30 mai 2013

LA VIE D'ADELE, de la BD au FILM


Le bleu est une couleur chaude est la BD (publiée en 2010 aux éditions Glénat) qui a inspiré La Vie d'Adèle, d'Abdellatif Kechiche, Palme d'or 2013.


l'auteure de l'album, Julie Maroh, revient dans son blog sur le destin incroyable de son livre.



La couleur d’origine

Voilà bientôt deux semaines que je repousse ma prise de parole quant à La vie d’Adèle. Et pour cause, étant l’auteure du livre adapté, je traverse un processus trop immense et intense pour être décrit correctement.

Ce n’est pas seulement à propos de ce que Kechiche a fait.

C’est un processus à propos de l’idée de la répercussion de nos actes, d’écrire une ridicule histoire l’été de mes 19 ans et d’arriver à… « ça » aujourd’hui.

C’est un processus à propos de l’idée de prendre la parole et transmettre sur la Vie, l’Amour, l’Humanité en tant qu’artiste, de manière générale. C’est un processus à propos de moi-même et du chemin que j’ai choisi.

Donc, oui… je suis traversée d’un sentiment indescriptible à propos de la répercussion. De se lever et de parler, et où cela peut mener.



Moi ce qui m’intéresse c’est la banalisation de l’homosexualité.

Je n’ai pas fait un livre pour prêcher des convaincu-e-s, je n’ai pas fait un livre uniquement pour les lesbiennes. Mon vœu était dès le départ d’attirer l’attention de celles et ceux qui:

- ne se doutaient pas

- se faisaient de fausses idées sans connaître

- me/nous détestaient

Je sais que certains sont dans un tout autre combat: garder cela hors-norme, subversif. Je ne dis pas que je ne suis pas prête à défendre cela. Je dis simplement que ce qui m’intéresse avant tout c’est que moi, celles/ceux que j’aime, et tous les autres, cessions d’être:

- insulté-e-s

- rejeté-e-s

- tabassé-e-s

- violé-e-s

- assassiné-e-s

Dans la rue, à l’école, au travail, en famille, en vacances, chez eux. En raison de nos différences.

Chacun aura pu interprété et s’identifier au livre à sa convenance. Je tenais toutefois à repréciser le point de départ. Il s’agissait également de raconter comment une rencontre se produit, comment cette histoire d’amour se construit, se déconstruit, et ce qu’il reste de l’amour éveillé ensemble, après une rupture, un deuil, une mort. C’est cela qui a intéressé Kechiche. Aucun de nous n’avait une intention militante, néanmoins j’ai très vite pris conscience après la parution du Bleu en 2010 que le simple fait de parler d’une minorité telle qu’elle soit participe à en défendre la cause (ou le contraire, selon.) et que cela nous dépasse complètement.



Le dégradé de la BD jusqu’au film

Kechiche et moi nous sommes rencontrés avant que j’accepte de lui céder les droits d’adaptation, c’était il y a plus de 2 ans. J’ai toujours eu beaucoup d’affection et d’admiration pour son travail. Mais surtout c’est la rencontre que nous avons eue qui m’a poussée à lui faire confiance. Je lui ai stipulé dès le départ que je ne voulais pas prendre part au projet, que c’était son film à lui. Peut-être est-ce ce qui l’a poussé à à me faire confiance en retour. Toujours est-il que nous nous sommes revus plusieurs fois. Je me souviens de l’exemplaire du Bleu qu’il avait sous le bras: il ne restait pas un cm2 de place dans les marges, tout était griffonné de ses notes. On a beaucoup parlé des personnages, d’amour, des douleurs, de la vie en somme. On a parlé de la perte du Grand Amour. J’avais perdu le mien l’année précédente. Lorsque je repense à la dernière partie de La vie d’Adèle, j’y retrouve tout le goût salé de la plaie.



Pour moi cette adaptation est une autre version / vision / réalité d’une même histoire. Aucune ne pourra annihiler l’autre. Ce qui est sorti de la pellicule de Kechiche me rappelle ces cailloux qui nous mutilent la chair lorsqu’on tombe et qu’on se râpe sur le bitume.

C’est un film purement kéchichien, avec des personnages typiques de son univers cinématographique. En conséquence son héroïne principale a un caractère très éloigné de la mienne, c’est vrai. Mais ce qu’il a développé est cohérent, justifié et fluide. C’est un coup de maître.

N’allez pas le voir en espérant y ressentir ce qui vous a traversés à la lecture du Bleu. Vous y reconnaîtrez des tonalités, mais vous y trouverez aussi autre chose.



Avant que je ne vois le film à Paris, on m’avait tellement prévenue à coups de « C’est librement adapté hein, ohlala c’est très très librement adapté », je me voyais déjà vivre un enfer… Chez Quat’Sous Films se trouvait tout le découpage des scènes filmées, épinglé au mur en petites étiquettes. J’ai battu des paupières en constatant que les deux-tiers suivaient clairement le cheminement du scénario du livre, je pouvais même en reconnaître le choix des plans, des décors, etc.

Comme certains le savent déjà, beaucoup trop d’heures ont été tournées, et Kechiche a taillé dans le tas. Pourtant, étant l’auteure du Bleu j’y retrouve toujours beaucoup du livre. C’est le cœur battant que j’en reconnais tout mon Nord natal tel que j’avais tenté de le retranscrire en images, enfin « réel ». Et suite à l’introduction de ma déclaration ici je vous laisse imaginer tout ce que j’ai pu ressentir en voyant défiler les plans, scènes, dialogues, jusqu’aux physiques des acteurs et actrices, similaires à la bande dessinée.

Donc quoi que vous entendiez ou lisiez dans les médias (qui cherchent souvent à aller à l’essentiel et peuvent facilement occulter certaines choses) je réaffirme ici que oui, La vie d’Adèle est l’adaptation d’une bande dessinée, et il n’y a rien de mal à le dire.



Quant au cul

Quant au cul… Oui, quant au cul… Puisqu’il est beaucoup évoqué dans la bouche de celles et ceux qui parlent du film… Il est d’abord utile de clarifier que sur les trois heures du film, ces scènes n’occupent que quelques minutes. Si on en parle tant c’est en raison du parti pris du réalisateur.

Je considère que Kechiche et moi avons un traitement esthétique opposé, peut-être complémentaire. La façon dont il a choisi de tourner ces scènes est cohérente avec le reste de ce qu’il a créé. Certes ça me semble très éloigné de mon propre procédé de création et de représentation. Mais je me trouverais vraiment stupide de rejeter quelque chose sous prétexte que c’est différent de la vision que je m’en fais.

Ça c’est en tant qu’auteure. Maintenant, en tant que lesbienne…

Il me semble clair que c’est ce qu’il manquait sur le plateau: des lesbiennes.

Je ne connais pas les sources d’information du réalisateur et des actrices (qui jusqu’à preuve du contraire sont tous hétéros), et je n’ai pas été consultée en amont. Peut-être y’a t’il eu quelqu’un pour leur mimer grossièrement avec les mains les positions possibles, et/ou pour leur visionner un porn dit lesbien (malheureusement il est rarement à l’attention des lesbiennes). Parce que – excepté quelques passages – c’est ce que ça m’évoque: un étalage brutal et chirurgical, démonstratif et froid de sexe dit lesbien, qui tourne au porn, et qui m’a mise très mal à l’aise. Surtout quand, au milieu d’une salle de cinéma, tout le monde pouffe de rire. Les hérétonormé-e-s parce qu’ils/elles ne comprennent pas et trouvent la scène ridicule. Les homos et autres transidentités parce que ça n’est pas crédible et qu’ils/elles trouvent tout autant la scène ridicule. Et parmi les seuls qu’on n’entend pas rire il y a les éventuels mecs qui sont trop occupés à se rincer l’œil devant l’incarnation de l’un de leurs fantasmes.

Je comprends l’intention de Kechiche de filmer la jouissance. Sa manière de filmer ces scènes est à mon sens directement liée à une autre, où plusieurs personnages discutent du mythe de l’orgasme féminin, qui… serait mystique et bien supérieur à celui de l’homme. Mais voilà, sacraliser encore une fois la femme d’une telle manière je trouve cela dangereux.

En tant que spectatrice féministe et lesbienne, je ne peux donc pas suivre la direction prise par Kechiche sur ces sujets.

Mais j’attends aussi de voir ce que d’autres femmes en penseront, ce n’est ici que ma position toute personnelle.



Quoi qu’il en soit je ne vois pas le film comme une trahison. La notion de trahison dans le cadre de l’adaptation d’une œuvre est à revoir, selon moi. Car j’ai perdu le contrôle sur mon livre dès l’instant où je l’ai donné à lire. C’est un objet destiné à être manipulé, ressenti, interprété.

Kechiche est passé par le même processus que tout autre lecteur, chacun y a pénétré et s’y est identifié de manière unique. En tant qu’auteure je perds totalement le contrôle sur cela, et il ne me serait jamais venu à l’idée d’attendre de Kechiche d’aller dans une direction ou une autre avec ce film, parce qu’il s’est approprié – humainement, émotionnellement – un récit qui ne m’appartient déjà plus dès l’instant où il figure dans les rayons d’une librairie.



La palme

Cette conclusion cannoise est évidemment magnifique, à couper le souffle.

Comme évoqué dans mon introduction, tout ce qui me traverse ces jours-ci est tellement fou et démesuré que je ne saurais vous le retranscrire.

Je reste absolument comblée, ébahie, reconnaissante du cours des évènements.

Cette nuit j’ai réalisé que c’était la première fois dans l’histoire du cinéma qu’une bande dessinée avait inspiré un film Palme d’Or, et cette idée me laisse pétrifiée. C’est beaucoup à porter.



Je tiens à remercier tous ceux qui se sont montrés étonnés, choqués, écœurés que Kechiche n’ait pas eu un mot pour moi à la réception de cette Palme. Je ne doute pas qu’il avait de bonnes raisons de ne pas le faire, tout comme il en avait certainement de ne pas me rendre visible sur le tapis rouge à Cannes alors que j’avais traversé la France pour me joindre à eux, de ne pas me recevoir – même une heure – sur le tournage du film, de n’avoir délégué personne pour me tenir informée du déroulement de la prod’ entre juin 2012 et avril 2013, ou pour n’avoir jamais répondu à mes messages depuis 2011. Mais à ceux qui ont vivement réagi, je tiens à dire que je n’en garde pas d’amertume. Il ne l’a pas déclaré devant les caméras, mais le soir de la projection officielle de Cannes il y avait quelques témoins pour l’entendre me dire « Merci, c’est toi le point de départ » en me serrant la main très fort.

http://www.juliemaroh.com/2013/05/27/le-bleu-dadele/


http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2013/05/27/blues-lauteur-de-la-bd-originale-de-la-vie-dadele-reagit/

LA PUB DE LA THEIERE DERANGE




Plus de pub pour les théières «Hitler» de chez JC Penney. Après une vive polémique, la marque américaine a décidé de retirer le panneau publicitaire ventant une théière qui affichait une certaine ressemblance avec le dictateur nazi Adolf Hitler, rapporte le site d’ABC.

Le panneau situé à Culver City, dans le comté de Los Angeles, et qui avait fait démarrer le scandale, a été retiré. La théière en question figure pourtant toujours sur le site Internet de JC Penney.

Un porte-parole de la chaîne JC Penney, avait indiqué plus tôt dans la semaine que toute ressemblance avec le chancelier du Troisième Reich était fortuite, expliquant avec humour sur Twitter: «C'est totalement accidentel. Si on s'était inspiré de quelque chose, ça serait plus d'un bonhomme de neige.»

 http://www.20minutes.fr/insolite/1164797-20130530-theiere-hitler-panneau-publicitaire-polemique-retire

LA NOUVELLE BETE DE CHRISTOPHE GANS


« Vous ressemblez à quelqu'un que j'ai connu autrefois…»


  « Cela vous gêne-t-il ? »

« Oui... Non !»


Le film sera inspiré par l’œuvre de Hayao Miyazaki « Parce qu'ils sont bâtis sur un système de valeurs humaines, écologiques, civilisationnelles, les œuvres du maître japonais ont su transcender les barrières culturelles et représenter pour le public international la quintessence du sentiment féérique » déclare Christophe Gans à Variety

"Avec ce film, je veux lâcher mon imagination. Bien que je veuille conserver la narration de ce conte intemporel, avec ses personnages et son rythme, je vais surprendre le public en créant un tout nouvel univers jamais exploré auparavant et produire des images d'une qualité sans précédent. Chacun de mes films a été un défi, mais celui-ci sera, de loin, le plus excitant et gratifiant."


"Ce n'est pas la version de Cocteau ni de Disney, il a voulu repartir du conte original, qui était en fait une métaphore sur la fin de l'aristocratie" explique Vincent Cassel sur RTL
http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Belle_et_la_B%C3%AAte_(film,_2013)





À la campagne vit un marchand au bord de la faillite avec ses quatre enfants : un fils, Ludovic (Michel Auclair), et trois filles, Félicie (Mila Parély), Adélaïde (Nane Germon) et Belle (Josette Day). Deux de ces filles sont ignobles, égoïstes et ont un mauvais caractère ; elles traitent leur sœur, Belle, comme une domestique.

Un jour, le père part en voyage d'affaires ; avant de s'en aller, il promet à ses filles de leur rapporter des cadeaux. Pour Félicie et Adélaïde un perroquet et un singe, ainsi qu'une tonne d'artifices et de bijoux, et pour Belle une jolie rose. En route, il s'égare dans une forêt où il trouve un château étrange et majestueux ; après y avoir passé la nuit et y avoir soupé, il y remarque une rose qu'il décide de prendre pour Belle. C'est au moment où il la cueille qu'apparaît le propriétaire du château (Jean Marais), un monstre doté de pouvoirs magiques, à l'aspect mi-humain mi-animal. Le châtelain condamne le marchand à mort, à moins que ce dernier ne lui donne une de ses filles. Belle accepte de se sacrifier et s'en va vers le château. Son voyage est filmé dans un mouvement lent qui lui donne un caractère onirique.

Quand elle voit la Bête, elle commence par s'évanouir, mais au fil du temps passé avec lui elle en vient à l'aimer, quand elle se rend compte que la Bête est autre chose que ce qu'un premier coup d'œil ferait croire. On se rend compte qu'elle devine l'âme pure qui se cache derrière la laideur de la Bête et la véritable bête est désormais un Prince qui veut se marier avec elle. Ce dernier possède étrangement les traits d'Avenant tandis que celui-ci, tué à cause de sa cupidité, a pris ceux de la Bête.

Dans ce film il y a deux mondes différents, d'une part la maison bourgeoise et ordinaire du marchand, et d'autre part le château enchanté de la Bête où tout est possible. C'est la forêt mystérieuse qui relie entre eux ces deux mondes. À l'intérieur du château et autour de lui, les chandeliers, les jardins et les cariatides sont vivants. Pendant le film, la bête dévoile cinq fils conducteurs qui sont des objets magiques dont certains ont été empruntés au conte de fées de Madame Leprince de Beaumont : la rose, une clé en or, un gant, le miroir et vient enfin le cheval blanc, « le Magnifique ». À la fin ces deux mondes finissent par se réunir. La chambre de Belle se trouve dans la chambre de son père - mais aussi dans sa chambre au château. La belle est sauvée lorsqu’Avenant meurt sous la forme de la bête, et que les deux personnages se fondent en un seul.
 
Cocteau a modifié la fin du conte de fées où une fée bienfaisante intervenait dans le rêve de Belle, pour récompenser les bons et punir les méchants.

http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Belle_et_la_B%C3%AAte_(film,_1946)


La Belle et la Bête (Beauty and the Beast), est le 39e long-métrage d'animation et le 30e « Classique d'animation » des studios Disney. Sorti en 1991, il s'inspire du conte éponyme de Jeanne-Marie Leprince de Beaumont, publié en 1757.

mercredi 29 mai 2013

FANNY

Dans la collection "REMAKE" mais aussi MEME TITRE MAIS PAS MEME FILM, je demande...

mardi 28 mai 2013

MICHEL BLANC PARLE DES BRONZES 3


En pleine promotion de son nouveau film "Demi-soeur", réalisé par Josiane Balasko, Michel Blanc est revenu, dans une interview accordée au site "Reviewer", sur la sortie en 2006 des "Bronzés 3".




"Honnêtement je ne suis pas fier du 3. Je pense qu'il y a de très bonnes scènes, celles de Christian par exemple, mais je ne me trouve pas très intéressant dedans. Je trouve qu'il y a des mélanges hétéroclites. Par exemple, tout ce qui tourne autour de cette histoire de patte d'ours, tout ça est absolument artificiel. Mais c'est dû au fait qu'on n'a pas écrit comme on écrivait avant".

 "Je n'ai évidemment pas honte du film" nuance-t-il. "Si on ne l'avait pas fait, on ne nous aurait jamais permis de refaire autre chose ensemble. Si on voulait retourner ensemble, il fallait éliminer le spectre du 3. Mission accomplie, maintenant place à autre chose".


 "Je ne veux pas faire 'Les Bronzés 4' pour beaucoup de raisons" annonce t-il. "Tout d'abord parce que je me suis rendu compte en jouant dans 'Les Bronzés 3' que c'était compliqué pour moi. C'est devenu plus facile de jouer dans d'autres comédies plutôt que d'incarner une nouvelle fois Jean-Claude Dusse".

"Et puis il faut aussi préciser que c'était un pari d'en refaire un. Il fallait tenir compte des trente années qui les séparaient de leur dernière aventure. Considérons donc que c'est une révérence, c'est en tout cas comme ça que je le vois

http://www.ozap.com/actu/michel-blanc-je-ne-suis-pas-fier-des-bronzes-3/447288

Ce qui ne va pas monsieur Dusse, c’est le planter de bâton


Fernand Bonnevie, le moniteur de ski de Michel Blanc dans « Les Bronzés font du ski » est décédé à 98 ans, dans sa station de Val-d’Isère (Savoie).



Sa réplique « Ce qui ne va pas monsieur Dusse, c’est le planter de bâton »



 
Lors de sa sortie en 1979, la comédie "Les Bronzés font du ski" avait enregistré 1,5 million d'entrées.




http://www.leparisien.fr/espace-premium/culture-loisirs/le-moniteur-de-ski-des-bronzes-est-mort-27-05-2013-2838877.php

dimanche 26 mai 2013

PLEIN SOLEIL SUR ALAIN DELON

 
Cannes a rendu  hommage au "guépard" et à René Clément, le réalisateur. L'acteur était samedi sur la croisette pour revoir en magnifique copie restaurée "Plein soleil" dans le cadre de Cannes Classics
 
"C'est un grand moment pour moi", Je suis là pour rendre hommage à mon maître absolu, René Clément. Le 17 mars, il aurait eu cent ans. Il aurait été bouleversé autant que moi. Plein Soleil a été mon quatrième film. Personne ne savait qui j'étais (..) Après, Visconti m'a choisi pour être son Italien du sud dans Rocco et ses frères. Je n'aurais pas eu la chance de faire ce film, je ne sais pas où je serais, sans doute pas là ce soir".
 
 

vendredi 24 mai 2013

LES VISITEURS 3


Christian Clavier est au Festival de Cannes 2013 où il célèbre avec ses partenaires le succès des Profs c'est officiel, il vient de signer avec la Gaumont pour le  nouvel opus des visiteurs, où, évidemment, il reprend le rôle de Jacquouille la fripouille. "Le réalisateur, Jean-Marie Poiré, et lui-même sont en train d'achever l'écriture du scénario",
 
source
Parisien/Aujourd'hui en France

LES VISITEURS version 2.5



"ils ne viennent pas que d'un autre temps,
ils viennent de France"

"Il s'agit non pas d'une suite, mais d'un remake du film français Les Visiteurs, du même Jean-Marie Poiré. Le réalisateur avait déjà tourné une suite de ce film, intitulée Les Couloirs du temps, et avait projeté de tourner un troisième volet. Mais il a finalement opté pour un remake du premier opus, dont il a transposé l'action aux États-Unis.

Poiré a fait appel à Jean Reno et Christian Clavier, les acteurs principaux du film originel et de sa suite. Reno et Clavier retrouvent leurs personnages respectifs de noble et d'écuyer. Néanmoins, on note certains changements, à commencer par les noms des personnages (Godefroy de Montmirail est devenu Thibaut de Malfete et Jacquouille la Fripouille est devenu André le Pâté).



Clavier est par ailleurs le coscénariste de ces trois films. Contrairement au succès du film français, ce remake ne convainc ni en France, ni aux États-Unis : après cinq semaines à l'affiche, le film rapporte 16 millions de dollars au box-office mondial pour un budget de production s'élevant à 35 millions[2]. En France, le film totalise seulement 1 219 488 entrées en neuf semaines à l'affiche."


source
wikipedia

LES VISITEURS 1


C'est un des films les plus populaires du cinéma français avec plus de 13 millions d'entrées en 1993, en 1998, une suite a été sortie, sous-titrée Les Couloirs du temps, ne récoltant néanmoins "que" 8 millions d'entrées.....


Maman, y'a des clochards dans le salon !!!


Cousin Hubert qu'est ce que c'est que cette mascarade ? Mais qu'est ce que c'est que ce binsssss ? Non mais j'hallucine... Qu'est ce que c'esssssssst que ce binsssssssss ?


J'comprends pas. Qui est amnésique ? Ton cousin Hubert ou l'autre putois, là ?


- Les deux, Jean-Pierre. Les deux.



Ces deux gougnafiers. Ils pataugent dans la cuvette des chiottes.





- S'il n'est pas capable de comprendre qu'il vaut mieux s'appeler Jacquart que Jacquouille ! Mais qu'il prenne de la Juvamine !




- Mais tu es mon fillot. Je t'aime. Je suis fier de ton réussissement.


Monsieur Ouille, comme une... nouille.







A toi !


Non non non Messire . Moi c'est pas la peine . J'ai pris un bain y'a deux mois dans la rivière.

LES VISITEURS 2 Muriel ROBIN (interview France soir - 2010)




"Dans Les Visiteurs 2, j'ai été à chier ! Le metteur en scène [Jean-Marie Poiré] ne me désirait pas. Je remplaçais quelqu'un qu'il aimait [Valérie Lemercier]. J'ai été très malheureuse sur ce tournage et je me demande encore aujourd'hui pourquoi j'ai fait ce film !"
Muriel Robin
France-Soir en 2010

mardi 21 mai 2013

ANNIVERSAIRE


ANNIVERSAIRE :
moment où on s'achète des choses qui ne servent à rien pour en foutre plein la vue à des gens qu'on peut pas voir.

Coluche

lundi 20 mai 2013

JOSIANE ET MICHEL


 
Le nouveau film de Josiane BALASKO sort  cette semaine, ça ne se refuse pas, et la cerise sur le gâteau, Monsieur Michel BLANC partage l'affiche !
 
 
Nénette est une petite fille de soixante ans. Un problème à la naissance l’a rendue différente. Nénette, qui a l’âge mental d’une enfant de 8 ans, a toujours vécu avec sa mère, qui l’a élevée seule. Nénette travaille, elle fait le ménage à l’école de la commune et sa meilleure amie est une tortue. Mais lorsque sa maman meurt, tout va changer et Nénette doit partir en maison de retraite. L’établissement n’autorisant pas les animaux, Nénette part avec sa valise et sa tortue, avec l’idée de retrouver son père, dont elle ne possède qu’une photo jaunie, une lettre et une adresse. Lorsque Nénette arrive enfin à l’adresse indiquée sur la lettre, une pharmacie, ce n’est pas son père qu’elle trouve, mais le fils de ce dernier, Paul Bérard, pharmacien psychorigide, qui voit débarquer cette demi-sœur avec effarement
 
 
 L'occasion rêvée pour faire un petit tour dans les films où ils se sont déjà donnés la réplique..
 
 

Grosse fatigue signé Michel BLANC

Nuit d'ivresse, la pièce de théatre


Les bronzés font du ski signé Patrice Leconte

Les bronzés
 
sans oublier les bronzés 3 !
 

dimanche 19 mai 2013

ODETTE ET LINO

 
 
"Odette Ventura, fondatrice de l'Association Perce-Neige avec son époux, l'acteur Lino Ventura, s'est éteinte mercredi 15 mai dans sa 94ème année, à Baracé (Maine-et-Loire), a annoncé sa fille Clélia Ventura.
 
Odette Ventura avait rencontré l'Italien Lino Ventura (1919-1987) à l'âge de 16 ans dans les locaux de la Compagnie italienne de Tourisme, à Paris.
 
Marié en 1942, le couple, qui a eu quatre enfants dont une fille handicapée, Linda, a fondé en 1965 l'Association Perce-Neige après avoir pris conscience du manque de structures d'aide et d'accueil pour les enfants «différents» en France."
 
source

jeudi 16 mai 2013

LA NOUVELLE DU JOUR PAS DROLE



"Terrible hasard, j'ai regardé son film "la clinique de l'amour" pas plus tard que le week end dernier."
Le comédien et réalisateur Artus de Penguern est mort brutalement mardi à l'âge de 56 ans à son domicile parisien d'un accident cardiaque, a-t-on appris jeudi 16 mai dans son entourage.

Acteur dans plus de 30 longs-métrages et une douzaine de téléfilms, Artus de Penguern était également réalisateur, notamment de La Clinique de l'amour, sorti en 2012.



Ancien élève du cours Simon, il avait commencé à jouer dans les années 80, interprétant toutes sortes de rôles dans des films aussi divers qu'un Maupassant de Michel Drach (1980), Danton de Wajda en 1983, Le Sang des autres de Chabrol (1983) ou Police de Maurice Pialat (1985). Plus récemment, dans Amélie Poulain, il jouait Hipolito, écrivain blasé au regard triste.


Il avait réalisé cinq courts-métrages avant de passer au long, avec Grégoire Moulin contre l'humanité (2000), dans lequel il joue le rôle titre d'un orphelin malchanceux, né un vendredi 13 qui mène une morne existence provinciale avant de tenter sa chance, sans succès aucun, à la capitale.


    http://www.lemonde.fr/culture/article/2013/05/16/le-comedien-et-realisateur-artus-de-penguern-est-mort_3263045_3246.html

Je déclare maintenant ouvert le 66e Festival de Cannes


La cérémonie d'ouverture du 66e Festival de Cannes, les photos de la soirée 


«Si je vibre autant, c'est pour toutes les promesses, toutes sélections confondues, qui vont s'offrir à nous», «Le cinéma ne vous laisse jamais partir comme vous êtes arrivé»,   «Place au cinéma !»  Audrey Tautou

«Mon dieu, je ne m'attendais vraiment pas à ça (...) J'ai grandi avec le Festival de Cannes. Nous en sommes à la 66e édition et j'ai 66 ans»

Steven Spielberg, Leonardo Di Caprio, Nicolas Kidman...

«Je déclare maintenant ouvert le 66e Festival de Cannes»,



Jean-Pierre Marielle

Cindy Crawford 




 (Photos ABJ/Serge Haouzi/Patrice Lapoirie)
http://www.nicematin.com/diaporama/cannes-2013-la-ceremonie-douverture-du-festival-comme-si-vous-y-etiez.1256237.html?idx=18#top-diapo

http://fr.euronews.com/2013/05/16/ouverture-du-festival-de-cannes-66eme-edition/

lundi 13 mai 2013

LES OISEAUX SONT ILS DRÔLES ?

le 5 mars dernier (lien ICI)sur mon blog,  DROLES D'OISEAUX rentrait dans la collection MEME TITRE MAIS PAS MEME FILM,(le film avec B. Giraudeau et le nouveau film avec Jack BLACK)


Cette semaine, j'en rajoute un puisque  DROLES D'OISEAUX (gossip birds) le film d'animation sortira cet été !




EN BONUS
dans la collection "presque même titre"... DE DROLES D'OISEAUX...



et une pièce de théatre


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